Bienvenue sur le blog des jeunes du Cercle

Skip&Die était au Forum de la Passerelle samedi 18 mai pour clôturer la soirée. Nous les avions interviewés avant leur prestation, l’après-midi et j’ai pu les prendre en photo et leur apprendre quelques mots de breton.

Je me suis rendue à la Passerelle après avoir vu le concert de Breakbot sur la grande scène, alors qu’il était un peu avant 2 h du matin. L’ambiance était extraordinaire, il faisait très chaud avant même qu’ils arrivent sur scène. Le public était très réceptif, dansait, chantait et applaudissait. Le groupe, mené par Catarina Pirata, chanteuse très charismatique, est doté d’une énergie débordante ! A six, ils jouent un mélange de musique traditionnelle sud-africaine, electro-rock, dubstep et hip-hop comme le témoigne leur album « Riots in the jungle ». Ils chantent en six langues différentes. L’album n’est pas encore sorti en Afrique du Sud mais il est très bien reçu en France et en Europe.

Catarina Pirata, la chanteuse pense qu’à chaque fois qu’on écoute l’album, on peut en avoir une vision différente, et qu’il fait voyager partout.

Certains textes sont engagés car en tant qu’artistes ils expriment leur vision du monde, mais elle précise que c’est surtout de la musique, de l’amour. Ils se veulent universels, et sont d’ailleurs issus de cultures différentes.

Depuis peu, une vague de musique africaine arrive en Europe, donc c’est plus simple pour eux de se faire connaitre maintenant. Ils ont été repérés pour les Transmusicales de Rennes grâce à Jean-Louis Brossard, le programmateur, qu’ils remercient. C’est pour eux un tremplin qui leur a permis d’avoir un grand nombre de dates par la suite, alors si vous avez l’occasion de les voir, n’hésitez pas !

                                                                                                                   Soizic A.               

Premier contact avec un groupe programmé au festival Art Rock, ce vendredi 17 mai 2013.

En effet, aucun groupe n’a donné de conférence de presse, mais nous avons tout de même posé quelques questions au groupe The 1969 club, après leur interview pour une radio locale.

Le trio composé d’Hermann Lopez, Douglas au chant et à la batterie et Charlie B. à la guitare s’est formé « dans le garage de leurs parents ».

L’année 2013 semble être la bonne, ils sont d’ailleurs une des révélations des Transmusicales de Rennes et ont remporté le tremplin des Jeunes Charrues à St Brieuc.  Ils seront présents dans de nombreux festivals cet été.

Le trio, très ouvert, a participé à Art Rock de nombreuses fois  déjà, en tant que festivaliers. 

«  - Alors, qu’est-ce que ça fait de se retrouver de l’autre coté de la scène ?

                                                                                - On est très content d’être là et on a tout donné pour faire honneur au festival. »

En tant que briochins, c’est à eux que revenait la tâche d’ouvrir le festival, en se produisant au Forum de la Passerelle entre 17h et 18h. 

Ce concert restera pour eux un souvenir marquant de cette édition.

Question posée à Hermann Lopez alias Marie, à la fois chanteuse et bassiste :

«  - Qu’est-ce que ça fait d’être la seule fille du groupe ?

«  - Ca me fait pas grand-chose, en même temps c’est comme mes copines, vous savez on fait des trucs de filles ensemble ! » répond-elle avec humour.

Le groupe rock garage aux influences « surtout des années 70 » a sorti un premier album maison.

La prochaine étape ? Un second album ! 

                                  Soizic A.

Règle n°1 : Avoir un lieu très tendance pour les artistes, exemple une chapelle.

Règle n°2 : Avoir du matos pour accueillir les artistes, exemple des micros et des chaises royales à 20 centimètres des enceintes.

Règle n°3 : Des artistes qui arrivent en retard.

Règle n°4 : Des journalistes ou des  apprentis journalistes qui se font des guerres mentales limite sanglantes pour tenter d’avoir un accès au micro.

Règles n°5 : Avoir au minimum un journaliste qui agace, un autre qui est (trop) sérieux et un autre qui pose des questions décalées juste pour perturber  un artiste avant un concert et pour voir les autres journalistes le fusiller du regard.

Règle n°6 : Savoir finir une conférence en harcelant l’artiste pour un autographe, une photo et un liner pour une radio.

Règle n°7 : Soutirer des informations auprès de l’artiste juste pour se la péter devant les autres journalistes.

Règles n°8 : Aller chercher un café avant que l’artiste, qui attend depuis 10 minutes que la conférence précédente se termine, ne commence.

Règles n°9 : Avoir de bonnes bases sur le maniement de la machine à café pour être servi et le boire en moins de vingt secondes.

Règle n°10 : Savoir garder son siège pour ne pas se le faire voler ou devoir rester debout sans bouger pendant la conférence. Exemple : laisser son manteau, ses affaires ou demander à une personne de confiance de la garder pour vous et le pousser pour  récupérer votre place.

Pour pouvoir assister à la parfaite maitrise de ces 10 règles, soyez bénévole à un festival.

Axel B.

Fiche d'inscription

Fiche sanitaire de liaison

Féfé qui était pour moi le meilleur de la journée n'a chanté que 3 chansons. Le pauvre chanteur, qui, à la base, ne devait pas monter sur scène, a quand même insisté mais sa voix était cassée ( et du coup pas super chouette).

Il a quand même mit l’ambiance et a fait applaudir et danser les spectateurs sur le titre «  je veux du soleil ».

Averti par son manager une première fois, il décide de ne pas écouter et de réessayer de chanter. Mais au bout d’un moment, sa guitare lui est enlevée des mains, ce fut une grande déception pour l’artiste et pour les spectateurs.

Il quitte la scène en nous faisant bien comprendre qu’il repassera à Saint-brieuc et qu’il nous réservera un show d’enfer.      

Bintou D.

Les spectateurs

Vendredi 17 Mai sur la grande scène

L’ambiance était bonne, les spectateurs avaient la forme, enfin presque ! On pouvait voir des gens à la démarche zigzagante à cause de l’alcool. Ce qui est bien dommage car « sans alcool la fête est plus folle! »

Les tenues vestimentaires étaient classiques, c'est-à-dire jeans, tee-shirt, sweat, baskets.

Plus la soirée avançait plus la moyenne d’âge diminuait et les jeunes ont envahi la piste pour bouger aux sons de Woodkid et de Kavinsky.

.BINTOU D.

Vendredi.

Nous sommes allés faire un tour à l’exposition d’art numérique.

La première œuvre interactive du musée consiste à voir  son reflet sur un écran. Il nous montre nos yeux en train de partir en fumée, fumée qui s’étale sur la surface du faux miroir. Tentée par cette expérience je me suis lancée, sauf que ma peau étant noire, la fumée n’est pas sortie de mes yeux. L’œuvre ne m’a pas détectée! Cela a bien fait rire les personnes qui m’accompagnaient. Pour eux, ayant la peau plus claire, la fumée sortait de leurs yeux sans problème.

Nous avons continué notre balade et rencontré pleins d’autres œuvres surprenantes. Souvent je ne comprenais pas en quoi cela consistait, c’était très technique et les phrases indiquées sur les plaques explicatives étaient très complexes. Cela nous a bien plu parce que c’est une exposition originale, un  mélange de sons et de lumières. 

BINTOU.D

Pour une première fois ce n’est pas mal du tout. Woodkid est un français avec un look bien spécial. Accompagné de ses musiciens déjantés, il est prêt à faire exploser les basses et à faire danser les spectateurs. Ils nous ont offert un spectacle extraordinaire. Ce sont aussi les seuls, ou presque, qui ont accompagné leurs chansons par des images sur grand écran. Les images projetées suivent le rythme des chansons; par exemple ils accompagnent une chanson lente et triste par des images de paysages en noir et blanc. Le chanteur est un personnage très dynamique qui a l’air d’exprimer ses sentiments sur scène. Sur 70min il nous a fait fondre !!!

Bintou D.

Après avoir été dans la fosse pour le concert d’ Emir Kusturica, je me suis demandé si je pouvais grimper dans la régie pour prendre des photos.

Tout en me rapprochant de la tour je me remémorais les multiples recommandations disant qu’il était impossible de prendre des photos d’en haut.

Après avoir joué des coudes pour arriver au pied de la tour, je levais les yeux et je vis d’autres photographes prendre des photos au sommet. Je décidais de prendre mon courage à deux mains, ainsi que l’appareil photos et, mon badge à la main je rentrais dans la tour. Au premier étage se trouvaient quatre personnes s’occupant du son et de la lumière. Au deuxième étage se trouvaient deux personnes aux commandes de deux projecteurs, il y avait aussi d’autres photographes.

Après avoir pris des photos j’ai décidé de descendre, mais j’avais oublié qu’entre chaque étage il y avait une marche de cinquante centimètres !!! 

Axel B.

Vendredi 17 Mai, mon premier jour à Art Rock. En arrivant à la chapelle  à 17h 30 on est allé chercher nos badges et nos bracelets. La chapelle était très bien décorée, elle était rouge avec des cages suspendues au plafond.

Dans ces cages se trouvaient des oiseaux, soit empaillés soit en polystyrène, le mystère reste entier! Ils étaient tous dans des positions différentes comme s’ils étaient vivants.

Vers 18h00 on est allé à la grande scène. La place était vide, c’était extraordinaire! quand on pense que 30 minutes plus tard la place allait être remplie de spectateurs dansant au son de Lescop. On est ensuite rentré dans le bar VIP et nous nous sommes installés pour parler.

On est parti faire un tour puis on a mangé. On est allé au musée pour voir l’exposition d’art numérique qu’il y a tous les ans au moment d’Art Rock.

Malheureusement, cela ne m’a pas plu. Je la trouvais trop simple, pas aussi impressionnante que celle de l’année passée.

Après la visite, nous avons participés à la conférence de 1969 Club, musiciens du style « Rock Garage ».  Ensuite, nous avons profité de la soirée en écoutant Lescop, un bon groupe de « Cold Wave », Lou Doillon tournée vers la « Folk Soul », Benjamin Biolay, lui,  chanteur de « Chanson Française ».  On a terminé la soirée par Woodkid chanteur de « Pop Alternative » et  Kavinsky musicien d’ « électro ».

C’était une soirée de musiciens français, j'ai préféré Lescop, Lou Doillon et Woodkid. J’ai trouvé ces trois groupes très intéressants. Leur dynamisme de ressentait. Leurs tempos étaient bien soutenus. Je les ai trouvé entrainant avec chacun un style très différent mais toujours avec des chansons  intenses.

A 1h30 ont est allé  se coucher afin de reprendre des forces pour les deux jours restants.

                                                          Léonie C.